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Ces dernières années, une prise de conscience en matière d’environnement a été faite et aujourd’hui plus que jamais. La protection de l’environnement occupe une partie importante dans le monde de la construction. En tant que conducteur de travaux, nous pouvons être confrontés à des tâches auxquelles nous ne sommes pas forcement formés. Dans ce rapport letraitement de matériaux pollués aux hydrocarbures dans un milieu relativement confiné sera traité. Il a pour but d’aborder les différentes réactions à avoir, les mesures à prendre ainsi que les points à ne pas négliger. Ce rapport est basé sur une expérience vécue. |
Description générale
La pollution s’est concentrée principalement sur une dalle en béton armé au niveau du terrain. Une fois saturée, l’excédent s’est infiltré dans le remblai entre le bâtiment fraîchement construit et la paroi berlinoise.
Dès l’annonce de la pollution, la DGE (direction générale de l’environnement) a été informée comme le veut la procédure.
A la suite de ça, nous avons rapidement dû contrôler l’importance de la pollution afin de prendre les mesures nécessaire pour éliminer toutes traces ou dégâts de ces 600 litres d’hydrocarbures. |
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Détail des travaux
Au vu de l’espace restreint pour la creuse (1.5m en largeur sur 9m de long), il a fallu trouver une méthode permettant d’excaver sur toute la longueur a une profondeur de plus de 11m tout en étayant à l’aide de profilé métallique la paroi berlinoise.
Le technicien doit parfois faire preuve d’imagination et combiner différentes méthodes pour proposer la solution adéquate. La creuse par camion aspirateur nous a paru la meilleure, en ajoutant une pelle de petite taille en fond de fouille afin de faciliter l’aspiration.
Au fil de l’avancement, les dégâts provoqués par la fuite se sont relevés bien plus importants que prévu. Il a fallu démonter la chemise drainante ainsi que piquer l’émulsion bitumineuse officiant comme étanchéité sur toute la surface. |
